Probablement le plus méconnu et le plus difficile à trouver des albums de Tangerine Dream (première période), Force Majeure reste de loin mon préféré.
Euh... besoin de présenter Tangerine Dream ?
Bon, rapide alors ; il s'agit d'un trio allemand pionier de la musique éléctronique, plus orientée new age & planant, a contrario de leur voisins de Kraftwwerk.
Force Majeure donc, emmené par Edgar Froese et sans Klaus Shculze, est de loin le moins ambient et le plus ryhtmé de ses pairs ornant la discographie fleuve du groupe.
Trois morceaux, d'une durée on l'aura compris excédant de loin le format radio, c'est le premier, éponyme, qui retiendra notre attention.
Construit comme une pièce classique ou une symphonie ( halte-là les puristes, c'est un élément de comparaison), une merveille d'écriture musicale, il évolue constamment dans des méandres étranges à grands coups de nappes électroniques mais aussi de percussions et de guitares. Très mélodique, montant sans cesse en tension, explosant et retombant avant de se calmer, il explore tour a tour la tranquille mélodie, la grandiloquence, les arpégiateurs, les guitares mélodiques trafiquées et aussi les synthés kitchouilles.
N'empêche que c'est bon ! C'est le genre de morceau que l'on finit par connaître à la note près et que l'on sifflote au volant, tranquille, tant ses émlodies semblent évidentes, de celles que l'on croit avoir déjà entendues ou connaître de toujours.
Beaucoups à qui j'ai fait écouter l'animal m'ont ri au nez ou m'ont flanqué un "mouais, c'est kitsch". M'en fous. Faites vous votre idée vous même, na !
Euh... besoin de présenter Tangerine Dream ?
Bon, rapide alors ; il s'agit d'un trio allemand pionier de la musique éléctronique, plus orientée new age & planant, a contrario de leur voisins de Kraftwwerk.
Force Majeure donc, emmené par Edgar Froese et sans Klaus Shculze, est de loin le moins ambient et le plus ryhtmé de ses pairs ornant la discographie fleuve du groupe.
Trois morceaux, d'une durée on l'aura compris excédant de loin le format radio, c'est le premier, éponyme, qui retiendra notre attention.
Construit comme une pièce classique ou une symphonie ( halte-là les puristes, c'est un élément de comparaison), une merveille d'écriture musicale, il évolue constamment dans des méandres étranges à grands coups de nappes électroniques mais aussi de percussions et de guitares. Très mélodique, montant sans cesse en tension, explosant et retombant avant de se calmer, il explore tour a tour la tranquille mélodie, la grandiloquence, les arpégiateurs, les guitares mélodiques trafiquées et aussi les synthés kitchouilles.
N'empêche que c'est bon ! C'est le genre de morceau que l'on finit par connaître à la note près et que l'on sifflote au volant, tranquille, tant ses émlodies semblent évidentes, de celles que l'on croit avoir déjà entendues ou connaître de toujours.
Beaucoups à qui j'ai fait écouter l'animal m'ont ri au nez ou m'ont flanqué un "mouais, c'est kitsch". M'en fous. Faites vous votre idée vous même, na !
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